Christian Bourquin

Bonne année, malgré tout...

Les fêtes de fin d’années sont l’occasion de se retrouver en famille et entre amis… C’est un rituel qui met du baume au cœur, qui met en valeur notre esprit de générosité et qui insuffle les couleurs du renouveau à nos existences engourdies par l’hiver.

Cependant, au-delà de la froideur climatique, il y a aussi celle de notre histoire contemporaine : la terrible crise économique mondiale auxquelles viennent s’ajouter les mauvaises orientations décidées pour notre pays par le gouvernement français.

Evidemment, je pense en premier lieu à toutes celles et à tous ceux qui ne passeront pas ces fêtes de fin d’année sereinement, dans de bonnes conditions… Ceux qui doutent… Ceux qui ont peur de l’avenir… Ceux qui n’ont rien ou si peu…

Tout au long de l’année, avec mon équipe, au Conseil Général, je prends, à la hauteur de mes moyens, toutes les mesures pour que la vie soit moins difficile, pour atténuer autant que possible les mauvais coups subis ces dernières années … Le bus à 1 euro en est un exemple et le succès qu’il remporte, un peu plus chaque jour, me galvanise, m’encourage, me renforce dans mes convictions pour poursuivre ma tache d’élu de la République, votre élu.

Nous connaissons toutes et tous, au cours de notre vie d’être humain, des moments de crise et tout en étant toujours pénibles à traverser, ils sont aussi signes de transformation et d’avancée. C’est pourquoi, il nous faut résister… il nous faut tenir le coup. Oui, parce que c’est avec la force de tous, la force de chacun que nous pouvons lutter, que nous pouvons conforter nos actions, mettre en place de nouveaux projets et avancer, ensemble, vers un avenir meilleur.

Mes très chers concitoyens, malgré tout ce que nous vivons de difficile, je vous souhaite de passer de joyeuses fêtes de fin d’année, tout comme je vous souhaite une bonne année 2009 : qu’elle soit remplie de projets, de réussites, d’espoir tout simplement.

Soutien à France3.

Il y a deux semaines, je me trouvais à Barcelone, dans les locaux du grand quotidien El Periodico, pour une rencontre des plus passionnantes avec l'un des directeurs de ce titre, M. Nadal. Je me souviens que lors de la discussion, en évoquant la situation générale des médias en Catalogne, M. Nadal m'avait confié comment il percevait l'évolution de la presse écrite régionale notamment, en tenant compte de l'implantation des journaux gratuits et de l'Internet. Pour lui, l'un des axes à privilégier pour cette « sortie de crise » au niveau de la presse, c'est un rapprochement géographique vers le lecteur, et cela doit passer par la multiplication d'éditions locales, d'agences de proximité.

J'avoue que je suis d'autant plus tombé sous le charme de son analyse que je la partage pleinement. Souvenez-vous, c'était au début de l'année : c'est la raison pour laquelle j'ai engagé l'Assemblée départementale à se joindre au projet du journal L'Indépendant dans la création d'une télévision locale en Pays Catalan.

Aujourd'hui, que fait le Gouvernement de M. Sarkozy ? Très exactement l'inverse. Il s'apprête, entre autres, à sectionner les racines locales qui font la force - et surtout leur raison d'être ! - des rédactions régionales de France 3 en leur diminuant leur précieux temps d'antenne. La casse du territoire continue ! Après les départements, on s'attaque à « la voix de la France », celle des régions, celle de nos terroirs. C'est insupportable ! Moi qui suis à l'origine du slogan « l'Accent catalan de la République Française », je ne suis pas prêt à allumer un petit écran insipide, inodore et incolore, qui aurait abandonné ses « accents » en régions. Que l'on soit Catalan, Occitan, Provençal, Basque ou Breton, entre autres, cette télé des régions fait partie de notre patrimoine culturel, sportif et identitaire, que l'on aime voir et entendre s'exprimer en toute liberté.

Même si je n'ai pas toujours été d'accord avec un certain traitement rédactionnel, notamment à mon égard, j'invite tous les habitants du Pays Catalan à manifester leur colère face à la réelle menace de voir disparaître, ou se réduire comme neige au soleil, la seule fenêtre audiovisuelle qui les comprend au point de rendre compte, chaque jour, de leur quotidien.

Pour être concret et pratique, comme à mon habitude, je suis pleinement solidaire de la lutte du personnel de France3, ils ont mon total soutien et je vous invite à faire de même en leur témoignant votre appui.

Association sociales : visite sur le terrain.

Ce lundi 22 décembre au soir, je suis allé, accompagné de Jacques Cresta, conseiller régional, rendre visite à quatre des associations nord catalanes qui s’occupent des personnes les plus défavorisées du territoire. Nous sommes arrivés aux alentours de 19 heures au siège de l’ACAL qui gère la téléphonie sociale tout public du 115. Puis, nous nous sommes rendus au Tremplin, à la Boutique solidarité et enfin dans les locaux de la Croix Rouge, situés dans l’enceinte de l’Hôpital de Perpignan.

Il faut savoir que l’accueil, l’orientation, la mise à l’abri, l’hébergement, les soins, l’insertion des personnes en rupture de logement sont une responsabilité de l’Etat en lien avec les communes ; cependant le Conseil Général des Pyrénées-Orientales a choisi d’être très présent dans ce domaine qui constitue pour lui une compétence facultative. Dans un contexte financier très difficile, avec mon équipe, nous avons souhaité protéger nos interventions directes dans ce secteur (435.000 euros en 2008)… Il n’est pas envisageable, alors que le Social est l’une des compétences principales des Institutions Départementales, de ne pas s’impliquer dans ce qui est de la responsabilité de l’Etat et des communes. Cela nous concerne tous, même si nous agissons à la mesure de nos moyens.

Le conseil général souhaite poursuivre son soutien aux associations dans le cadre d’accords pluriannuels (qui doivent permettre une couverture équilibrée du territoire afin que tous les services ne soient pas uniquement concentrés à Perpignan) en affirmant une volonté de soutien au bénévolat et à la professionnalisation de l’accueil des publics. Pour les associations qui oeuvrent pour l’accueil et l’accompagnement des personnes sans hébergement cela est d’autant plus prioritaire qu’elles sont souvent de petite taille et fragiles du fait de la typologie de leurs financements. Ces associations font un travail remarquable, fait d’écoute, de patience et de passion. Je remercie tous ces professionnels et ces bénévoles de tout ce qu’ils font pour toutes celles et tout ceux qui ne savent plus où aller, où manger, où dormir ; sans eux, le maillage indispensable pour épauler les plus fragiles d’entre nous ne pourrait se faire. Merci et bravo.

Cette soirée du 22 décembre dernier s’est achevée, aux alentours de 23H30, par une table ronde à laquelle ont participé tous les professionnels associatifs, en présence également de Jacqueline Amiel-Donat qui nous a rejoints en cours de visite.

Bornes : mais pourquoi tant d'agitation ?

La presse locale me tanne ces jours-ci pour, je cite : « en savoir plus sur les bornes qui ont été récemment posées par le Conseil Général dans et autour de Perpignan ». Alors que l’on votait ce lundi 22 décembre le budget pour l’année 2009, il ne m’a pas semblé de la première urgence de répondre à cette question.

Néanmoins, parce que ce blog est aussi fait pour vous informer, voici quelques précisions quant à l’installation de ces bornes qui indiquent l’entrée et la sortie des routes départementales autour de la ville de Perpignan.

J’évacue d'emblé la seule questio qui semblait intéresser les médias, à savoir le nombre et le coût de ces bornes. Elles sont une cinquantaine et ont coûté 500 euros chacune. Voilà, ça, c’est fait ! Ce qui m’étonne, c’est que l’on ne m’ait jamais interrogé pour connaître le prix et le nombre exact de toutes les autres pancartes de signalétique routière installées sur l’ensemble du territoire départemental...

Pourquoi cet intérêt soudain pour ce qui n’est finalement qu’un moyen de permettre à la population, à fortiori celles et ceux qui empruntent chaque jour le réseau routier – national, départemental et communal – de qui est responsable de quoi. Eh oui, j’ai régulièrement des remarques de citoyens au sujet du mauvais entretien de certaines voies routières, par exemple celle qui passe devant le Moulin à vent et qui conduit jusqu’au cinéma le Méga Castillet. Et bien ces bornes répondent d’elles-mêmes à ces remarques : il fait s’adresser à l’actuel encore maire de Perpignan puisque cette route est de son ressort et non de celui du Conseil Général… C’est une route municipale !

L’Institution que j’ai l’honneur de présider depuis 1998 est, en France, celle qui investit le plus (au regard du nombre de kilomètres de routes) sur son réseau routier. Ce n’est pas rien et je suis fier du travail accompli dans ce domaine, travail que nous poursuivons afin de faciliter et de sécuriser la circulation pour nos concitoyens. Il est donc logique que chacun prenne, et surtout assume, ses responsabilités. Grâce à ces bornes, chaque administré des Pyrénées-Orientales peut se rendre compte que la priorité de l’actuel encore maire de Perpignan n’est pas dans la réfection ou même l’entretien des routes dont il a la charge…

Pour terminer avec ce sujet, j’ajouterai que nous ne sommes pas les seuls à signaler par des panneaux l’entrée et la sortie des routes : d’autres Conseils Généraux le font ainsi que les Autoroutes, celles du Sud de la France pour ne citer qu’elles.

Joyeux Noël.

Mes très chers concitoyens, je vous souhaite en ce 25 décembre 2008 de passer un très JOYEUX NOËL !

Voeux du nouvel an : un rituel fait de tradition et de lien social.

Cette semaine, certaines collectivités locales ont fait savoir par communiqués de presse qu’elles annulaient ou restreignaient leur cérémonie de présentation des vœux à la population. Dont acte.

Personnellement, je ne suis pas dans cet état d’esprit. Je tiens à ces vœux populaires, à ce moment d’échange, de lien social entre les uns et les autres, de ces quelques heures de convivialité qui font partie de la vie humaine. Même si toutes les cultures du monde ne fêtent pas le nouvel an au même moment, l’immense majorité des cultures le font vivre et chacun y exprime son esprit de générosité et de sens du partage. Cela fait partie de nos codes, de notre culture et je doute fort qu’annuler cela change quoique ce soit à la crise en cours. Bien sûr, la plupart de ces annulations sont plus d’ordre symbolique qu’autre chose, mais pourquoi choisir un symbole d’arrêt plutôt que de continuité, d’espoir finalement !?

Les vœux à la population organisés par le Conseil Général ne sont pas ostentatoires. Il n’y a pas de champagne, pas de « salons », pas de petits fours coûtant une fortune. Non, ces vœux se distinguent par une simple grillade et des vins roussillonnais pour fêter la fin d’une année et le commencement d’une autre. Pourquoi restreindre un événement - auquel 3000 personnes participent chaque année - qui est déjà simple en soi ? Les autres institutions, en annulant démontrent plus qu’elles faisaient dans le fastueux qu’autre chose…

Voilà pourquoi je vous attends le plus nombreux possible le 16 janvier prochain, à partir de 18H30, au Palais des Rois de Majorque.

Argent liquide !

Nul ne semble se préoccuper des investissements (et frais de fonctionnement) décidés par l’actuel encore maire de Perpignan concernant la fontaine située devant le Palais des Congrès. C’est tout de même assez étonnant…

Il faut savoir que ladite fontaine a coûté l’indécente somme de 2 millions d’euros et, chaque année pour son entretien, ce ne sont pas moins de 325.000 euros qui partent non pas en fumée, mais en « glouglous » lumineux !! L’équivalent de 325 salaires au SMIG, soit un mois de salaire jeté tous les jours de l’année dans cette eau qui tourne en circuit fermé et qui n’est donc même pas bonne à boire, quelle honte !

Ayant été achetée (et étant entretenue) par la municipalité de Perpignan, c’est donc « grâce » à l’argent des perpignanais que cette fontaine (qui, en plus de tout le reste, ne fonctionne même pas correctement !) existe. Je doute fortement que l’on puisse sincèrement être fier d’un tel gâchis de l’argent public.

Budget 2009 : aider et protéger face à la crise.

Ce matin, en session plénière de l’Assemblée Départementale, nous avons voté le budget pour l’année à venir. C’est la première fois de mon histoire politique que j’ai aussi peu d’élus votant « contre » un budget départemental : 5 élus UMP en tout et pour tout. Le groupe PC a chois de s’abstenir ainsi que J. Codognès (au passage, celui-ci n’a participé à aucune réunion à propos de ce même budget, n’a rendu aucune note, bref n’a pas travaillé le sujet, mais bon libre à lui de faire ce qui lui semble être un moyen de se faire remarquer, en isolement certainement…).

Chaque année, je tiens à ce que le budget soit voté à la fin de l’année afin d’y voir clair dès le début de l’année qui commence. Ainsi, dès le 1er janvier, nous pouvons (re)commencer à travailler.

Ce budget 2009 a donc été conçu afin de vous aider et de vous protéger face à la crise. La situation mondiale est préoccupante, c’est pour quoi, plus que jamais, je souhaite, comme la majorité de mes collègues conseillers généraux, poursuivre nos actions humanistes et amplifier l’élan d’investissement vers les entreprises et les territoires.
Vous le savez sans doute, dans ce contexte de crise, tous les Conseils Généraux de France voient leurs choix budgétaires contraints, mais il y a toujours des choix politiques possibles. Et nous faisons ces choix parce que notre gestion, telle que nous la pratiquons depuis dix ans, le permet.

C’est donc un budget de 544 millions d’euros qui a été voté aux alentours de 13 heures aujourd’hui. Certes, il  y a une augmentation d’impôts de 8%, mais rendez-vous compte : si le gouvernement nous payait l’argent qu’il nous doit – 76 millions d’euros ! – nous aurions été en mesure de présenter une réduction d’impôts de 44% !! En effet, cette somme correspond aux financements des transferts de compétences (RMI, APA, certaines routes…) entre l’Etat et notre Institution départementale, financements dont usait l’Etat lorsqu’il était en responsabilité sur ces dossiers et qu’il a jugé inopportun de nous transmettre lors de la décentralisation. Sachant que tous ces transferts font partie de nos compétences obligatoires (et qu’il nous faut également prendre en compte l’évolution de 14 millions d’euros supplémentaires pour 2009), vous comprendrez aisément que nous n’avions pas d’autre choix que d’augmenter les impôts. Pour vous donner une idée : 8% c’est environ 8 euros de plus par an et par personne qui paie la 1ère tranche des impôts dans les Pyrénées-Orientales. Nous avons cherché à atténuer au maximum cette augmentation. Cela fait des mois que les services concernés du Conseil Général travaillent à cela. Pour vous donner une idée, la moyenne de l’augmentation des impôts en France pour 2009 est de 10%. Et il y a des Conseils Généraux en France qui ont augmenté leurs impôts de 20%, voire 30% !

Pour terminer, je vous dirai que nous avons construit un budget dynamique pour continuer à faire avancer notre territoire toujours plus loin, un budget permettant d’être, de rester au plus près de nos concitoyens.

Respect...

Chaque année, en cette période de fêtes de fin d’année, je retrouve les anciennes et les anciens conseillers généraux des Pyrénées-Orientales, en compagnie des actuels élus qui composent l’Assemblée départementale. Cela a débuté sur mon initiative, et c’est devenu une tradition, pour ne pas dire un rendez-vous incontournable si j’en juge par le nombre grandissant des participants à chaque nouvelle édition.

Une manière de maintenir, entretenir, un lien avec celles et ceux qui ont assuré les fonctions qui sont les nôtres aujourd’hui. J’aime écouter les avis de celles et ceux qui ont un regard forcément un peu plus extérieur sur la vie politique départementale. C’est toujours un moment convivial et chaleureux auquel j’attache une attention toute particulière.

Cette année, nous avons battu tous les records de participation ce qui me réjouit ; comme le confiait mon amie Renée Soum, ancienne députée : « C’est réconfortant parce que ce rendez-vous dépasse tous les clivages politiques. C’est un rendez-vous de personnalités qui ont en commun l’amour du département ». Et c’est vrai, tous les partis sont représentés, loin de toute polémique partisane. Cette année, j’ai même eu la surprise d’y accueillir mes adversaires politiques les plus agressifs dans l’hémicycle départemental. Un signe ?

En attendant de les retrouver ici ou là, je laisserai le mot de la fin à mon prédécesseur, René Marquès, qui nous a offert un discours tout en finesse : « J’ai le regret de ne pas avoir eu l’occasion et l’intelligence de le faire – cette rencontre avec les anciens conseillers généraux – de mon temps ; c’est dommage car c’est une excellente idée que ce temps des retrouvailles avec une neutralité locale ».

Lancement du guide de la création d'entreprise dans les Pyrénées-Orientales.

Ce lundi 15 décembre, dans une des salles d’Accueil Entreprises 66, a eu lieu, en présence de la presse, la présentation du guide de la création d’entreprise dans notre département. À mes côtés se trouvaient mon collègue et ami – 1er Vice-Président du Conseil Général - Jean-Jacques Lopez, Gérard Caprdet, Président de la Chambre de métiers et de l’artisanat, un représentant du Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, Michel Guallar, Président de la Chambre d’Agriculture Roussillon et de Madame Coué, Directrice du Travail, représentant l’Etat.

Chacun a pris la parole pour dire combien il était heureux de tout le travail qui a été fait – et qui continue – pour aider, soutenir et encourager la création d’entreprise sur notre territoire. Dans un contexte mondial et national préoccupant, nous devons plus que jamais travailler afin d’accompagner tous ceux qui souhaitent se lancer dans la création d’entreprises. Dans les Pyrénées-Orientales, ce ne sont pas moins de 3400 entreprises qui se créent chaque année (un record au point de vue national !) et il nous faut aller encore plus loin !

Ce Guide de la création d’entreprise dans les Pyrénées-Orientales, élaboré à l’initiative du Conseil Général, d’Accueil Entreprises 66 et des trois Chambres Consulaires, retrace les grandes lignes d’un parcours de projet de création d’entreprise. Il a été mis en place afin de permettre au porteur de projet d’avoir un aperçu global du processus de la création d’entreprise. Il s’adresse à tous les porteurs de projet sans restriction d’âge, de statut social, de capacités financières.

Petit rappel : Accueil Entreprises 66 est un bureau unique au service des porteurs de projets. En effet, guidé par la volonté de rassembler les forces vives du territoire départemental, le Conseil général a confié au CEEI Plein Sud Entreprises, la mise en œuvre et l’animation d’accueil Entreprises 66, véritable plate-forme d’échanges et de réflexion sur les pratiques d’accompagnement des porteurs de projet d’une part, et outil précieux d’information et d’orientation des porteurs de projets d’autre part. Deux exigences fortes marquent cette démarche et lui confèrent son caractère innovant : améliorer la qualité du service rendu d’une part, et, d’autre part optimiser les moyens de chaque membre du réseau.

Accueil Entreprises 66 rassemble plus de 30 structures spécialisées et est animé par un comité de pilotage associant le Conseil Général et les trois Chambres consulaires du département. Reste un problème : 90% de ces 3400 entreprises sont uninominale, à savoir qu’elles ne représentent, chacun, qu’un seul emploi. En soi, c’est une très bonne chose puisque ces créateurs d’entreprises ont su créer leur propre emploi, mais, évidemment, cela n’est pas suffisant… L’objectif à atteindre est que chacun crée un autre emploi, se développe.