Christian Bourquin

Corail rouge catalan : le gouvernement doit assumer et enfin réagir !

Je ne suis pas sans savoir que depuis quelques semaines, la colère monte sur la Côte Vermeille où les habitants réclament que soit mis fin aux agissements d'un corailleur qui pille sans vergogne nos fonds marins.

Je suis d'autant bien placé pour en parler que dès 2004, le Conseil Général que je préside, gestionnaire de la Réserve naturelle marine de Cerbère-Banyuls et animateur au même endroit du site Natura 2000 "Posidonies de la côte des Albères", a coordonnée une réflexion dans l'objectif de garantir la préservation de ce patrimoine naturel remarquable.

Si cette implication a abouti à la mise en place d'un arrêté du préfet maritime de la Méditerranée précisant des dispositions particulières relatives à la pêche du corail rouge dans les eaux des Pyrénées-Orientales durant deux ans, plus aucune réglementation spécifique n'existe depuis le 31 mai 2008. A deux reprises l'an dernier, j'ai interpellé le préfet de la Région Paca mais mes sollicitations sont restées sans réponse. Vous trouverez ci-dessous le dernier courrier que j'ai envoyé au même préfet avec copie au représentant de l'Etat dans notre département. Cette lettre date du 21 septembre dernier et là encore, j'attends toujours une réponse ! Ils sont muets, coupables muets devant cette forfaiture ! Or c'est pourtant à l'Etat, compétent en la matière, d'intervenir pour qu'une nouvelle réglementation soit mise en place ! Le corailleur ne doit plus avoir l'autorisation d'aller piller car jusqu'à présent, il était à peu près dans la légalité, fort d'un arrêté l'autorisant tout de même de procéder à certaines récoltes. Il faut aller plus loin. Nous ne réclamons rien d'autre qu'un cadre plus strict, comme cela a été instauré en Corse !

Téléchargement Lettre au préfet corail

L'identité républicaine de la France défendue au quotidien

Depuis le 2 novembre, le débat sur l'identité nationale porté par le ministre de l'Immigration est officiellement ouvert. La belle affaire ! Tout a été fait dans la précipitation, les préfectures ne sont pas prêtes et on voudrait nous faire croire qu'il s'agit là d'un sujet sérieux, non bricolé à quelques mois des régionales ! On savait la droite décomplexée mais à ce point...

Car replaçons les choses dans leur contexte. M. Sarkozy et son gouvernement nous invitent à aborder le thème de l'identité nationale. Dans le même temps, ils multiplient les atteintes à ce qui fait justement l'identité républicaine de notre pays. Car oui, en tant qu'homme de gauche, je revendique une vision civique et républicaine de la nation, bien loin des conceptions ethniques ou particularistes qui sont indignes de l'histoire de notre pays. Fruit de grands combats, l'identité de la France est selon moi constituée de principes communs que la République a su faire partager à tous les Français. Je citerais les droits de l'Homme, la laïcité, l'école publique ou encore l'égalité sociale. Autant de principes fondateurs qui font que la France qu'on aime, c'est celle des services publics, de l'émancipation de chacun et de la diversité.

Or cette conception républicaine de la nation, c'est tous les jours que nous la défendons, sans avoir à être convoqués à un pseudo débat. Depuis que je dirige le Conseil Général, j'ai souhaité mettre en exergue une devise, "l'Accent Catalan de la République française". Ces mots, vous pouvez tous les jours les lire sur les voitures du Conseil Général, vous les retrouvez aussi chaque mois dans le magazine qui est distribué dans votre boîte à lettres. En 1999, le Conseil Général a réalisé une exposition sur les Marianne et il a édité, depuis, un ouvrage sur les symboles de la République. C'est cela porter l'identité de la France et je pourrais citer à loisir la liste des actions au quotidien qui illustrent notre travail lié à cette identité. A la République surtout.

Un bien triste traître...

J'ai présidé lundi la 245^e séance publique du Conseil Général, avec 35 rapports à l'ordre du jour. Une fois encore, la majorité des dossiers a été votée à l'unanimité. Je dis "encore" car comme je le fais souvent remarquer, l'opposition qui siège au Conseil Général approuve en moyenne 98 % des textes. Composé de 11 élus en 2001, le groupe UMP n'a cessé de s'étioler et il ne réunit plus que cinq membres. Henri Carbonell vient en effet de les quitter pour appartenir aux non inscrits – indépendants. Seulement cinq conseillers généraux UMP, donc. Mais qui peuvent néanmoins compter sur un nouveau soutien de poids en la personne de Jean Codognès ! L'illustration en a été donnée lundi.

Dès l'examen du premier rapport, le conseiller général du Haut-Vernet est intervenu, suite à la présentation de la situation économique et financière du département en 2008. Y allant de sa propre analyse, il a parlé de mauvaises décisions prises depuis 1998 et de ce qui, selon lui, n'a pas été fait en matière de création de richesses... Des critiques, des reproches, mais en oubliant juste de préciser qu'il était il y a six mois encore dans les rangs de la majorité ! J'ai même dû lui rappeler qu'il avait été pendant plusieurs années en charge des questions économiques en tant que Président de la commission ad hoc ! Les dossiers qu'il défendait alors, il les dénigre maintenant en avançant des arguments qui ne tiennent pas la route ! Prenons l'exemple du port de Port-Vendres, dont il était question lundi. Savez-vous sur quoi Jean Codognès s'est basé pour fustiger le  projet de 3e quai ? Sur de vieilles études datant de 2005, que le préfet n'a même pas retenues et c'est normal ! Comme si nous n'avions pas travaillé sur le sujet depuis deux ans... Les patrons le savent bien, eux, et ils se sont tous ralliés au projet. La réunion publique qui s'est déroulée le 5 mai dernier à Port-Vendres l'a démontré...

A l'image d'Eric Besson, Jean Codognès a définitivement retourné sa veste. Il n'hésite plus à voter comme l'UMP mais n'étant pas sûr de pouvoir rejoindre ce groupe, il joue aussi sur le registre des Verts. Codognès, porte-voix du prochain sommet de Copenhague ? La motion qui a été votée lundi n'était pas à son initiative et le Conseil Général n'a pas attendu qu'il change de priorités pour s'engager dans une politique volontariste en matière de développement durable...

Jean Codognès a du mal à trouver sa place et ses errements ne suffisent plus : se complaisant dans les invectives de bas étage, il m'a insulté à plusieurs reprises durant la séance de lundi... Un bien triste personnage, rien de plus, qui a fait 9 % sur son nom lors des municipales de juin dans le canton où il a été élu... Ce bilan est d'autant plus triste que Jean Codognès est celui qui a fait perdre la gauche à ces municipales, en se maintenant au second tour sur directive de Jean-Paul Alduy dont il est un servile allié. Triste bilan de M. Codognès ? Triste bilan d'un traître...

Toujours au plus près du territoire qui m'a élu conseiller général

J'ai repris il y a une dizaine de jours les réunions publiques sur mon canton de Millas. Vous le savez, j'essaie le plus souvent possible d'aller sur le terrain et à la rencontre de la population. C'est le sens que je donne à ma fonction d'élu de proximité, à mon engagement d'homme politique de gauche.

Après avoir fait le tour du département au printemps dernier (une centaine de réunions publiques en moins de trois mois !), j'ai donc décidé de consacrer un peu plus de temps à mon propre canton, cette terre qui m'a largement réélu conseiller général en mars 2008. A ce jour, trois rendez-vous se sont déjà déroulé, à Millas, Corneilla et Pézilla. A chaque fois, plusieurs dizaines de personnes y ont assisté, preuve que le travail d'écoute que j'ai toujours privilégié est primordial...

En présence des maires et des équipes municipales qui m'accueillent, ces réunions publiques sont l'occasion de faire le bilan des actions menées et d'évoquer celles à venir. A Millas, il a ainsi été question de la contruction du nouveau collège alors qu'à Pézilla, c'est la réalisation d'une maison de retraite de 85 places qui va changer la vie des habitants. J'ai d'ailleurs posé la première pierre de ce futur établissement ce lundi 16 novembre, aux côtés des représentants de la Mutualité française.

Parmi les grands dossiers que je porte figure aussi la reconstruction des centres de secours du Soler, de Corbère-les-Cabanes et de Pézilla. Sans vouloir dresser une liste trop exhaustive, je citerai aussi la poursuite des installations de défibrillateurs, l'embellissement du site de Força Réal ou encore le développement du bus à un euro. Autant d'actions qui visent à améliorer le quotidien des habitants et qui feront l'objet de prochaines réunions dont je vous communique ici le calendrier, sous réserve de modifications de dernière minute. Je serai donc :

• samedi 21 novembre (demain) à 10 heures la salle des fêtes de Corbère.

• jeudi 26 novembre à 19 heures au centre socio-culturel de Saint-Féliu d'Avall.

• samedi 28 novembre à 17h30 à la salle des fêtes de Néfiach.

• mardi 8 décembre à 19 heures à la salle des fêtes de Corbère-les-Cabanes.

• mercredi 9 décembre à 19 heures à la salle des fêtes de Saint-Féliu d'Amont.

• au Soler à une date qui n'a pas encore été déterminée.

Petite phrase

Je ne vous apprends rien si vous avez lu l'Indépendant de ce matin : avant d'accueillir Georges Frêche hier soir à Toulouges, j'étais avec lui à Montpellier où nous avons présenté à la presse le débat d'orientation budgétaire du Conseil Régional. A cette occasion, Georges a plusieurs fois pris en exemple l'action que je mène à la tête du Conseil Général. Et il s'est laissé aller à un petit commentaire faisant allusion à sa succession en 2014 : "Ca serait amusant qu'il y ait un Catalan à la tête de la Région. Il y a eu un Lozérien, un Audois, un Gardois, un Héraultais. Il faut qu'il y ait un Catalan, ce serait normal !"

Les petites phrases de Georges Frêche méritent attention...

Séance de travail constructive avec Georges Frêche

Comme je vous l'avais ici-même annoncé, Georges Frêche est venu hier soir rencontrer les militants socialistes du département. J'étais évidemment très heureux d'accueillir notre Président de Région sortant à Toulouges, où nos amis Louis Caseilles et Jacques Cresta étaient aussi présents. Plus de 450 militants avaient répondu à l'appel, pour une séance de travail un peu inhabituelle. Je dis inhabituelle car cette fois-ci, c'est Georges qui a écouté ce que les militants des Pyrénées-Orientales avaient à dire. "Je suis là pour m'informer auprès des socialistes qui constitueront la colonne vertébrale des listes pour les régionales", a-t-il insisté. Il a rappelé que la campagne officielle démarrera dès la présentation de son programme, le 23 janvier.

Durant plus d'une heure et demi donc, Georges s'est prêté au jeu des questions-réponses, exposant sa vision sur des sujets aussi divers que l'avenir du Train Jaune, le stade Gilbert-Brutus, le port de Port-Vendres ou encore les énergies renouvelables. Il a répondu à 48 questions posées par la salle, représentant autant de dossiers que, s'il est réélu, la Région continuera à soutenir. Car c'est aussi l'un des enjeux du scrutin de mars prochain : avec Georges Frêche, nous avons la garantie que nous pourrons encore compter sur l'engagement du Conseil Régional. Un Conseil Régional qui est aujourd'hui le seul en France à suventionner des Départements et dont l'aide est donc capitale pour les Pyrénées-Orientales.

Autre gage de confiance, la bonne gestion qui est assurée à la Région. Depuis 2004, et je sais de quoi je parle en tant que premier vice-président délégué aux Finances, nous avons fait passer la dette de la collectivité de 11,2 % à 4 %. Un tel effort, c'est se donner les moyens de répondre aux attentes des habitants. Le désendettement permet de dégager des marges de manoeuvre. Au lieu de donner l'argent aux banquiers, mieux vaut le mettre directement sur le terrain par le service public. Pour l'économie, l'emploi, nos concitoyens et nos territoires.

Conserver notre Région à gauche, c'est donc aussi s'assurer que nos collectivités qui sont aujourd'hui menacées auront encore du répondant. Ce qui fait notre force, c'est notre cohésion. C'est notre bilan qui est aussi notre avenir !

Une nouvelle décision de justice qui me donne raison

Je ne vous l'apprends pas, certains de mes détracteurs se donnent régulièrement l'impression d'exister en fustigeant ma façon de gérer le Conseil Général. Sans vouloir leur accorder trop de crédit, je voudrais ici vous faire part d'une récente décision de justice, qui conforte justement mes positions et ma rigueur de gestion.

Dans un délibéré daté du 6 octobre et lu en audience publique le 20 octobre dernier, le tribunal administratif de Montpellier a rejeté les requêtes d'une ancienne agent du Conseil Général qui avait décidé de saisir la justice en arguant que son contrat de travail n'avait pas été renouvelé à la fin du mois d'août 2008, date à laquelle une réorganisation des services du Conseil Général avait impliqué la suppression du poste qu'elle occupait. Employée depuis plusieurs années, cette ancienne directrice réclamait par ailleurs un contrat à durée indéterminée, et donc d'être réintégrée dans ses fonctions.

Comme j'avais eu l'occasion de l'expliquer, le tribunal a notamment considéré, et je le cite, « qu'aucune disposition législative ou règlementaire et aucun principe général du droit n'impose à l'administration, d'une part, de chercher à reclasser un agent non titulaire dont le contrat n'a pas été renouvelé pour un motif tiré de l'intérêt du service, et, d'autre part, de proposer à l'intéressé un contrat à durée indéterminée dans le prolongement des contrats précédemment conclus ».

Quoi de plus clair ? Cette décision ne dit rien d'autre que ce que j'ai toujours avancé ! Car soyons un moment sensé, et je vous invite à vous mettre à ma place : vous êtes à la tête d'une administration publique, qui emploie près de 2 000 personnes ; une réorganisation s'impose, les missions de certains de vos collaborateurs ne se justifient plus et leur contrat se termine. Cela peut vous paraître brutal mais si ces personnes ne peuvent être réaffectées, vous n'avez pas d'autre choix que de vous en séparer et de pas renouveler leur contrat terminé ! C'est ça être un gestionnaire rigoureux, qui plus est gestionnaire de l'argent public !

Cette information mérite d'être évoquée car à l'époque, certains avaient assuré dans des articles de presse que je perdrais. Aujourd'hui, ma gestion de cette affaire est une nouvelle fois validée.

Un très bon rapport sur l'Office HLM départemental

Vous l'avez lu dans la presse, la Chambre Régionale des Comptes a rendu son rapport sur l'Office HLM départemental que je préside. Sans pavoiser, on peut affirmer qu'il s'agit là d'un très bon rapport. Pourquoi ? Parce qu'il reconnait que la gestion de l'Office est saine et équilibrée. Si je ne cache pas ma fierté, c'est parce que seulement 10 % des 350 organismes français de logement social sont ainsi distingués. Ne s'endormant pas sur ses lauriers, l'Office 66 est le premier constructeur des Pyrénées-Orientales, une cinquantaine de chantiers sont actuellement en cours et nous consacrons chaque année 5 millions d'euros pour maintenir le parc en état. Alors oui, le rapport de la Chambre régionale indique que nous sommes un peu endettés, mais c'est proportionnel à l'effort de construction que nous soutenons, dans 131 communes du département. Nous avons des impayés ? Pas plus qu'un autre organisme et la Caisse des Dépôts, qui nous accorde sa confiance en signant tous les six ans une convention avec nous, le sait très bien. 140 millions d'euros de prêts pré-signés obtenus avant même de les demander, c'est bien la preuve que la situation financière est saine... costaude... assise !

Pour mémoire, je vous rappelle que la Chambre régionale des Comptes a aussi examiné cette année la situation de l'Office HLM de la Ville de Perpignan. Record d'impayés, logements mal localisés et vétustes... le rapport publié à la mi-octobre mettait en exergue plusieurs points noirs. Un chiffre donnait particulièrement à penser, celui des fonds consacrés à la création de logements sociaux dans le cadre du Programme National de Rénovation Urbaine (PNRU) : l'Office HLM de la Ville n'y consacre que 36 % de crédits, alors même que celui qui a piloté l'agence nationale chargée de veiller à la bonne application du PNRU de 2004 à 2007 n'est autre que... l'ancien maire de Perpignan ! Qu'a-t-il donc fait du reste de l'enveloppe ? Des places publiques et des fontaines ! L'argent de l'Etat n'a donc servi que dans une proportion d'1/3 à faire des logements. 2/3 non destinés à leur vocation, quel drôle de détournement... Lui qui nous rabat les oreilles de ses multiples spécialités, dont celles d'architecte et d'urbaniste, mérite aussi un bonnet d'âne car 70 % du parc de la Ville a été réalisé avant 1980. Rien ne s'est donc passé alors qu'il était maire ! Rien en matière de construction de logements, rien en entretien de l'existant... Un bien triste bilan, donc, sans comparaison avec nos réalisations.

Pour être précis, sachez que le rythme annuel des réalisations de l'Office départemental est de 450 chantiers. 450 chantiers, c'est 400 logements à la clef ! Notre parc correspond à 10 % de tous les logements sociaux de la région, alors que l'on compte 43 organismes spécialisés. Ces chiffres expriment toute notre vitalité ! On ne peut qu'être fier de la mission remplie.

Georges Frêche à la rencontre des militants PS

Notre Président de Région sortant l'a annoncé hier : il entamera dès la semaine prochaine des réunions publiques dans les cinq départements du Languedoc-Roussillon. Le coup d'envoi de cette tournée sera donnée ce lundi 16 novembre dans l'Hérault. Le rendez-vous dans les P.-O. a déjà été fixé, ce sera jeudi 19 novembre  Perpignan à 19 heures. J'invite évidemment tous les militants socialistes à répondre présents, Georges Frêche étant le seul candidat qui peut nous permettre de conserver la Région à gauche. L'objectif de ces réunions est d'écouter et d'aborder avec les militants les attentes et le projet, ou du moins les thèmes principaux à intégrer dans le projet pour le mandat 2010-2014.

Une nouvelle Charte en faveur de la proximité

J'ai signé ce jeudi 12 novembre une Charte départementale du Commerce, de l'Industrie et des Services avec mon ami Bernard Fourcade, président de la CCI de Perpignan et des Pyrénées-Orientales. Ce texte déterminant pour notre économie locale vient concrétiser plusieurs actions que nous avons déjà menées ensemble dont la mise en place des Bistrots de Pays ou encore l'instauration des épiceries de village. Car oui, nous accordons notre confiance aux initiatives locales, à cette proximité qui est aujourd'hui malmenée par les projets de réformes défendus au plus niveau de l'Etat. A l'heure où les phénomènes de mobilité et de désertification économique menacent certains territoires, il est indispensable de préserver une répartition équilibrée des activités. J'ai d'ailleurs profité de cette signature pour rappeler que le bus à 1 euro s'est imposé comme un outil d'aménagement du territoire. Alors que nous savons bien que les augmentations notables de salaires seront difficiles en cette année de crise, nous lançons un appel aux chefs d'entreprise qui voudraient tout de même redonner du pouvoir d'achat à leurs salariés : pour vos équipes, nous vous proposons un abonnement annuel à 150 euros au lieu de 180. C'est ce qu'on appelle un joli cadeau de fin d'année...